Changer charbons Bernina 730

Là, c'est plus compliqué !
Sur les Bernina dont la peinture est de qualité, l'acétone fonctionne très bien (mais attention par exemple aux parties en plastique qui apparaissent sur les 830).
Mais j'ai fait quelques grosses bêtises avec ce produit sur des Elna Lotus et même sur des 191B ou 237 Singer et c'est complètement à bannir sur les vieilles fontes noires dont le vernis est fragile.
Sujet délicat...
J'espère que d'autres membres du forum ajouteront leurs suggestions...

YAS2C50M a écrit:J'utilise la bombe verte et noire “3-en-1“ technique nettoyant contacts.
J'en fais une consommation absolument dingue !

Les bombes contact se trouvent sous des marques différentes dont FACOM disponible dans un Brico du coin .



Très éfficaces y compris dans les circuits genres interrupteurs qu'on ne peut pas ouvrir !
Consommation large  (1 bombe /2  mois) + Chaque  matin pour éclaircir la voix  (Vocalises) et comme geste barrière

Rj2

Si ça permet les contacts, est-ce que ça n'est pas le contraire d'un geste barrière ?

MERCI à tous qqui m'avez parfaitement conseillé sur cette nouvelle Bernina 730.

Tout est rentré dans l'ordre.

Elle dégouline d'huile que j'ai mis copieusement mais depuis près de 30 ans sans avoir tourné, c'est un vrai miracle qu'elle marche sibien.

Seul souci, la genouillère sert à entraîner le moteur alors que sur la 830 que j'avais avant, elle levait le pied de biche et le moteur était actionné par la pédale ! Bon faut que je m'y fasse !

Juste une question si vous pouvez me répondre : où puis-je trouver la chronologie de sortie de ces machines ? Par exemple ma 730 a été achetée en 68, ma 830 datait de 1976.

Quels sont les modèles (toujours Bernina mécanique) qui sont arrivés ensuite ?

Merci

Hubert

Sur la chronologie de cette marque, je ne peux malheureusement pas vous aider...
Quant au choix genouillère versus pédale, j'ai personnellement opté pour la pédale...même si j'ai une jolie Bernina verte (point droit seul mais quand même en 220V), comme neuve et... avec genouillère.
Elle a appartenu à la femme d'un officier français (nom à particule !) et a donc voyagé en Indochine et au Maghreb mais n'en a visiblement pas souffert.