Les Bernina 117K, 117-11-K, 114 et 730 Record de Simanco33

En fait tout dépend aussi de la qualité du moteur...


Et la bataille des rouleaux

Depuis j'ai ceux-ci en low shank et mieux encore en high shank (SPk-3 et R652 (tout acier))


>> Pieds Rouleaux Low Shank (tout métal) <<

Pour les coutures sur les voiles, capotes, taux, etc, et tous ce qui doit rester exposé au soleil, store banne, coussins de meubles de jardin, etc, il faut impérativement utiliser du fil traité anti UV, faute d'avoir à refaire les coutures tous les 2 à 3 ans !
J'ai acheté une bobine de 2500m pour environ 20 € comme ici
        https://www.lefildevosidees.com/462-1283-fil-a-coudre-travaux-moyen-fil-plein-air.html#/281-couleur-blanc_naturel/198-conditionnement-cone_2500m
        https://www.lefildevosidees.com/134-988-fil-travaux-moyens-fil-plein-air-impermeable.html#/198-conditionnement-cone_2500m
Bien sur une Singer 20U, une Bernina 217, une machine double ou triple entrainements, etc serait mieux, mais ce n'est pas le même budget, de plus, elle ne sont pas transportables/dépassables.
Ma Bernina 117L portable, plutôt transportable, 23kg avec le socle en bois et son couvercle tient quand même dans un coffre du bateau. Elle me permet d'entretenir correctement les "toiles" de notre bateau.

Je vais acheter du fil imperméable pour la bâche de bateau de mon beau-frère, merci pour les liens.

Comme j'ai retapé la table d'origine de ma Bernina 117 11 K, j'ai reconstitué la machine comme lors de son achat et fait quelques essais au moteur.

J'ai installé l'ensemble sur le "fer" Singer que j'ai à demeure dans le garage semi-couvert. J'ai juste un peu poussé la CLIO pour les essais.

La table est très longue. Lors de l'achat de l'ensemble (c'était un don à l'origine, j'avais juste fait une proposition symbolique à "l'asso" qui me l'avait cédée), lors de cet achat, donc, la table était couverte de vinyle. J'ai enlevé, je l'ai juste un peu grattée pour la rendre fonctionnelle… comme pour la machine. Là, on est dans de l'industriel… disons : du professionnel qui a beaucoup travaillé!

Tiens, ma bâche fait raccord! Je vais en faire d'autres, en noir, pour mes industrielles qui passent à l'atelier.


J'ai reconstitué le bobineur. Il avait encore sa marque sur la table. Même en grattant, elle était restée... J'ai laissé.



J'ai également reconstitué la genouillère lève pied de biche.

(Pourquoi reconstitué : j'avais démonté et rangé tout çà dans l'atelier et le temps est passé… d'autre machines aussi mais comme on dit, "rien ne se perd, rie ne se gagne"… chez moi, dans le meilleur des cas).

La roue fait très "peace and love", n'est-il pas?

J'ai calé tout çà à côté du moteur "Luxor"

(J'avais entre temps mis une prise de terre et adapté un câble, des fois que des gamins passent dans le coin.)

J'ai pu vérifier la remarque faite par Eric : le pied de biche a plus de course actionné par la genouillère que levé par son levier manuel.

Dommage car je ne pense jamais à la genouillère…

La table est "Singer" la machine "Bernina". Quand j'ai acheté cet ensemble, l'Angleterre était encore en Europe… il me sera pardonné!



J'ai fait ma canette. Il faut des canettes acier pour que le levier qui sépare la roue du bobineur, quand la canette est pleine, puisse se loger entre les flasques. J'ai reçu des "alu" de Chine qui sont trop étroites pour ce bobineur. J'en ai assez en acier…


Je montre, pour Eric, le ressort "bricolé". Je l'avais fait à partir d'un industriel "chinois". Ma foi, il fonctionne.


La machine a cousu.

Comme la table était mise, j'ai pu également faire coudre au moteur ma Bernina 117K verte.

Je le montre dans cette vidéo "faite à la maison".


Je pars quelques jours en Dordogne, tant que le soleil est supportable. Je laisse la machine montée dans le garage. Je ferrai quelques "runs" à mon retour avant d'attaquer du "gros".

Beau travail, comme d’habitude…

Pour Claude B., je montre une vue en perspective du bobineur en action. Si ça reste flou, je ferai une vidéo qui montre la manœuvre désormais classique de cette opération chez les industrielles.

Chose curieuse, ce bobineur n'a pas d'ergot de verrouillage de la canette
Elle se "bloque" sur l'axe fendu uniquement en force.


Bel ensemble Simanco33
J'attends un ressort Juki indus mais la référence de ton ressort de tension peut m'intéresser...


Nous avons d'ailleurs les deux modèles opposés en 117
J'ai la verte en 117L (boitier broderie) avec la jetée d'aguille en façade au dessus du levier largeur de point.
Et ma noire 117-11 K en plus rustique avec la jetée d'aiguille.. derrière la machine (comme ta verte)
Là il j'aurai bien voulu comprendre comment Bernina a arrêté sa conception avec un levier du mauvais coté
Pour un fabriquant à la réputation de "Rolls" çà ne le fait pas
Une belle aberration

Je pense que le trou 7mm au dessus bloc de tension du bobineur
était initialement un porte cône

Exact, j'aurais pu batailler pour mettre le mien mais avec le fil tombant ce n'était pas pratique. De plus je l'aime tant mon porte cône Necchi. Je le balade du salon où j'ai la Singer 17 K au garage où j'essaye mes machines sur table.

J'ai mis à la place une petite tige chinoise percée de deux trous pour faire une "spirale" avec le fil "tombant", puis fait boucler par le bas pour faire passer, ensuite, sur les coupelles du bloc de tension du bobineur. Le tout a très bien fonctionné.

Il me reste à comprendre, par contre, à quoi sert vraiment la longue tige porte bobine de devant le bobineur. Ce n'est pas vraiment un porte cône pratique et c'est bien long pour les petites bobines... un mât de misaine?

J'aimerais voir à quoi pouvait ressembler le porte cône d'origine.

Stockage de canettes vides...
Usage qu'en fait Véro33 et que je crois avoir vu par ailleurs également... Dès que je retrouve la source...

De quel trou de 7 mm parlez vous ?

Ah oui! Le trou du porte cône

Ben voilà, si tu relis plus haut je disais que c'était la base d'un porte cône

Bingo !

Oui oui ! J’ai lu moi j’ai un autre trou dans la table, je ne vois pas pour quoi?

Mon plateau n'a pas ce trou...

Peut être pour passer le fil d'une lampe...

C’est une idée…

lumineuse


enfin.. je dis çà , c'est pour t'éclairer

Ahah ! J’ai justement une lampe démontée sur ma 31 …

Et bien voilà!... Peut-on avoir une photo de pied en cap du porte-cône, pls? Le fil va donc direct, à la verticale, vers le crochet du bas, bien, ok.

Je vois que question porte-cônes tu es fournie. Peux-tu mettre aussi une photo en détail de celui marqué Bernina? C'est marrant j'ai le "même" modèle marqué "PFAFF".

Ce peut être le début d'une belle collection!

Simanco33 a écrit:Le fil va donc direct, à la verticale, vers le crochet du bas,

PAS POSSIBLE !


Il y a un bras pour tenir le cône...
Il doit remonter du cône sur un crochet ou un anneau avant de redescendre

Ce porte cône est sur la Bernina 217

rare de trouver un porte cônes sur une petite familiale

La 117-11 est classée 'indus' modestement
moteur sous table

Le porte cône sur la 117 vient d’une durkopp
Le vert est celui de la 217

Certes, à la verticale en passant bien sûr par le crochet du haut, ofc...  mais descente directe! En général j'ai toujours utilisé mes cônes avec un départ du fil (à partir du crochet du haut) en diagonale vers un guide quelconque. Justement pour que le fil ne batte pas je fais souvent une spirale sur mes guides à deux trous, pour freiner un peu et surtout pour éviter le "retour" du fil qui aurait tendance à s'accrocher en route.

Vero, tu as déjà un joli début de collection de portes cônes (à l’unanimité pas de tirets donc).