Si vous deviez n'en garder qu'une?

C'est dingue les circonvolutions et les contorsions mentales que l'humain peut faire pour contourner la loi ! La 237 fait partie du jeu comme les autres ! L'évasion fiscale chez les proches ça compte aussi.
Pour ma part ça sera une janome thimonnier bras libre tout métal. : polyvalent et facile a transporter.

Excellent, j'adore le tournicotage de la matière grise en gros comme tu l'écris une fois de plus par le baratin des COOP afin de détourner encore une fois  la question première

1 à GARDER

Ici ce sera la PARISIENNE pour la simple raison: 1ère machine où la confiance que l'on m'a donnée sur le forum afin de restaurer un de ces modeles

Le reste, je m'en fiche, je saurai les refaire ensuite, peut être mieux  

Pas pire que les clébards mordants

Oups ! comme beaucoup, j'aurai beaucoup de mal à choisir, ce serait un crève-coeur ! ... Je suis plutôt du genre fourmi
Je n'achète pas, ou très rarement, sur un coup de tête (vieille habitude des années "vache maigre" où chaque sou comptait encore plus qu'aujourd'hui ! ), mes machines me servent surtout à coudre plus qu'à la collection (peut-être exception faite pour la petite dernière, l'Anker au petit navire...), donc je tiens beaucoup à ce que j'ai ... mais en cas extrème où il n'y aurait aucune autre alternative, je pense que je garderai la 401G (sans le meuble alors) pour pouvoir continuer à travailler avec mais en pleurant éternellement toutes les autres !

On va bien finir par en avoir un pour garder une série 7...

ça manque de discipline par ici

Bon moi sur mes 3 machines (je ne compte pas celle en plastoque de Carrefour - qui m'a bien dépanné ceci dit). Je garde, a priori, la 191B.

Jusqu'au prochain craquage...

ma petite fille a choisi une Singer 740 et une Singer 221k blanche
et moi, je garde ma soeur pour mes bricoles à coudre ; l'avantage : pas de maintenance.

Arf! Au moins une sœur tu prends pas de risque. C'est plus durable qu'une femme, surtout a notre époque étrange !. Comme les machines, la diversité compensera la qualité...
Du coup je garde la 16.c'est le côté survivaliste standard n'ayant pas encore eu le temps de se trouver une 20 alors on fait avec ce qu'il y a en rayon. On a le droit de changer le choix ?

On a le droit de changer d'avis oui... Une fois

Bon ben vendu pour la 16. Tant pis pour le jersey, je raterai la prochaine gaypride

Pour ma part je garderais ma PFAFF 130-115 au regard de son histoire agitée...

Yves, ça te dérange de me raconter? Je suis allée sur la catégorie PFAFF et je n'ai pas trouvé

J'avais dû insérer l'histoire dans la continuité d'un post de Véro ou de Simanco sur la Pfaff 130. Il y a en fait plusieurs histoires qui se rejoignent par rapport à cette machine. La 1ère est liée initialement à la lecture des posts de Simanco au sujet de cette machine qualifiée par certains de véritable "chars d'assaut" construit en Allemagne par Pfaff entre les années 30 et 50. Assez rare en France ou au moins dans l'Ouest, elle est une des premières familiales zig zag. Après être tombé un jour par hasard sur une Pfaff 31 dont une personne se débarassait, je l'avait remise en état et avait vraiment apprécié le faire. J'avais fait de même avec son meuble qui était attaqué par des vrillettes. Ce meuble est toujours chez moi mais la 31 a été récupérée par une personne qui a sû la mettre en valeur et l'utiliser de façon plus régulière que moi. J'avais été "piqué" par cette Pfaff 31 de 1932 et c'est par un autre hasard qu'un ami dans l'Est de la France, près de Pont à Mousson, me montre en visio WA le tas de déchets qu'il allait emmener à la déchetterie...et parmi les déchets de cette maison familiale en train d'être vidée, je repère une machine noire avec un curieux bouton rond central...que j'avais vu précédemment sur les posts de Simanco sur la Pfaff 130. Mon sang ne fait qu'un tour et je lui demande de me la mettre de côté. Je la récupère plusieurs mois plus tard en Normandie avec sa table et une belle collection de pieds de biche d'origine et la rapatrie en Bretagne...
Elle m'en a fait bien baver, j'ai égalzment poncé, traité et vernis son meuble en chêne et elle trône désormais à la maison où elle sert régulièrement



Cette machine appartenait à un ancien professeur technique en Allemagne. Après son décès, sa famille a finit par la remiser chez un cousin à eux en France dans un ancien monastère ou couvent vendu il y a bien longtemps à des particuliers...jusqu'à ce que ce lizu soit vidé pour être vendu...

génial! C'est typiquement pour ce genre de récit que j'ai fait ce post!

Elle est magnifique, quel heureux concours de circonstances!

Attends, c'est pas fini ! Mais la galette n'attend pas !

Souhaitant tenter une remise en état avec peinture d'une vieille machine, je tombais bien plus tard sur une épave de 130 sur laquelle, suivant les conseils avisés de Pascal Le Dob, j'expérimentais le dérouillage, ponçage,... jusqu'à sa remise en état final...elle est de 1942 et je l'ai retapée en lisant le magnifique ouvrage de Hans Fallada "Seul dans Berlin"...
...donc oui encore une fois, s'il ne devait y en avoir qu'une...eh bien...une 130

moi je l'aime bien! Et puis, vu l'état initial, c'était l'occaze de tenter!

Oui ! Il y a eu du boulot dessus ! Ça a pris quelques mois

Pour continuer ton post, Angélique,

Ma Callebaut, achetée à côté de chez moi, chez le fils d'un ancien fabricant de chaussures à Lauzun (47).
J'étais parti chercher une Singer 29, et il m'a donné cette machine, pour l'en débarasser. Nous l'avons remise en marche avec Simanco, elle n'est que de 1855/1860, et elle tourne et coud encore.


Et puis aussi celle là, ma Elna "Junior", qui avait été offerte à une petite fille qui habitait au "Congo Belge".
Lorsque les colons ont été expulsés, en catastrophe, la petite fille (aujourd'hui décédée) avait sauvé cette machine. C'est son fils qui me l'a cédée, et m'a raconté l'histoire de son voyage (Belgique, Congo, retour en Belgique, et arrivée en France)


C'est bien de se souvenir des moments les plus forts, ou les plus attachants, mais chacun, on a une histoire pour nos vielles bébêtes !!!!

Au suivant, c'est chouette à lire !!!!

En situation de survie, du fils et des aiguilles.
Je ne m'embarrasserai pas de 15 à 20kg de fonte ou 5 à 6 kg de plastiques...

La vraie question est quelle est la préférée et pourquoi? Son arrivée, son histoire... Jveux des paillettes !

Salut Angélique,

c'est une super question, je ne suis qu'au début de mes recherche de la MaC ultime, je ne l'ai pas encore trouvée.
j'ai acquis très (trop) rapidement quelques jolies machines pour bricoler dessus et, je sais au moins ce que devrait être "subjectivement" MA machine à garder.
Elle devrait être quasi-indestructible...et si j'arrive néanmoins à "merder", être facile à réparer. pas de courroies intérieures, que du métal, facile d'accès, qui fait le zig-zag et marche arrière, qui peut s'actionner par moteur externe ET aussi en musculaire (manivelle ou pédestre). Elle doit utiliser des aiguilles/canettes standard et elle doit être jolie et un peu colorée. En gros, le meilleur des fontes noires avec un brin de modernité pré-plastique-obsolescence-programmée.
J'aime toutes mes machines, elles ont toutes un petit quelquechose qui me plaît mais celle qui (pour l'instant) coche la plupart des cases c'est ma première acquise, un petite Pax nm-20 de la fin des années 50. Elle, c'est sûr je la garde.
Sorry pour les paillettes, je suis un pragmatique :-)
V

La Necchi BU (Bobine Universelle), avec porte canette, canette et aiguille standard "15 mais avec en plus le pied industriel!

Au pédalier :


Prête à embarquer!


(On avait évoqué au début du post mais mon avis n'a pas changé, elle ferait partie, en bonne place, d'une des quinze s'il ne fallait "qu'en garder quelques unes")

Alors, la Necchi...j'adhère totalement...ce vert est vraiment classe!!

Une que je trouve chouette s'il n'en devrait en rester une (pour faire tout le boulot, il faut un couteau suisse) c'est la Singer 216g (karlshure)... moins élégante que la necchi, certes