La lubrification d'une machine à coudre ancienne

Oui c'est prévu pour de l'huile fine. . Dans ce cas précis,  il ya tout un tas de petits tuyaux en cuivre qui font ruisseler les gouttes jusqu'aux nids de mèches,  et ça repart sur tous les points de lubrification. Évidemment les pièces sont creuses et mechées pour les endroits les plus inaccessibles. C'est la machine la plus élaborée que j'ai pu voir en terme de lubrification.  Il faut appuyer quelques fois pour amorcer le bazar et ça fait le job.  Par contre,  si on lui laisse le plein sans s'en servir,  on a droit à une jolie flaque sur l'étagère...
J'ai rien trouvé sur cette marque.

Chouette la YAKUMO...

La Necchi RZG a aussi un système de lubrification avec réservoir dans le corps de machine, tuyaux en cuivre et mèches sur tous les points "stratégiques".



On voit sous le capot du haut le bouchon d'accès au réservoir à huile. Il y a un niveau  au dessus du réglage de la longueur des points.

Là je l'ai laissée vide car, en effet, elle finit par se vider par capillarité.

Simanco33 a écrit:Chouette la YAKUMO...

Et encore tu n'as pas vu le moteur torpille...
La photo quand je vais dans mon dépôt de tables et moteurs, on dirait fusée soviétique.
Ta necchi est une 8ème merveille, avec zigzag en plus. Là, on touche la Grande Collection...

Comme souvent, personne ne répond à mes demandes par contre devier le sujet !!!!!.. Sans souci ... Vous auriez un 0 pointé en dissertation les gars

Revenons à la boite à huile de Dominique certifiée par Sewing dont on ne doit pas ouvrir le couvercle


Le point rouge sur le plan de huilage

Pascal35 a écrit:

Pascal35 a écrit:.Effectivement il y a un point de huilage, mais il descend plutôt vers l'axe que vers les pignons.

Donc c'est boite à graisse


Thierry a écrit:  La 306K a un engrenage dans un boitier fermé, on n'y remet de la graisse

Gritzner a écrit: Les pignons métal de la Singer 201 sont encapsulés dans des boîtes à graisse..


Pour souvenir le ou les post: Featherweight  ou Zérouette, la "cartouche" de graisse fournie avec la machine, oui vu le volume du tube, ce n'est certainement pas pour graisser le moteur électrique


Pour revenir à la question de départ qui est :

Sewing38300 a écrit:
Ca ne répond pas à ma question : où mettre la graisse dans une ancienne machine ?

Voilà les réponses du bleu,  tu pourras choisir dans le panel ce qui t'intéresse

ma réponse est claire : j'ai posté ça :
"Bien lire la notice pour savoir où on met l'huile et où on met la graisse"
de mon côté, le sujet est clos.

Je demande votre indulgence pour avoir encore posté ma RZG mais je l'aime tant que j'ai voulu saluer de sa présence le nouveau titre du post qui est "La lubrification des machines anciennes" et là, comme lubrification, elle se pose là. (j'aimerais bien cependant voir à quoi ressemble un moteur "torpille" de la YAKUMO).

Ma réponse à la question précise, posée plus haut encore, serait pour simplifier (mais je l'ai tellement redite de fois sur différents posts) que dans les boîtes à graisse on devrait mettre de la graisse (je mets au lithium sur les conseils de Thierry donnés  il y a, déjà, quelques années), dans les pots à huile de l'huile (de vaseline dans mon cas) et dans les trous à huile de l'huile de vaseline.

Depuis des mois je déroge à la règle. Je metS* plus de graisse dans mes machines de collection. Mes Singer 201K, Alfa 100, Bernina 117, Cosson 32  ou ZZ allemandes ont juste régulièrement un coup de pinceau d'huile sur les engrenages. Ces machines sont sur des étagères. Elles finiront chez un autre collectionneur qui n'aura ainsi pas a batailler avec de la graisse caramélisée.

Sur des machines prévues à coudre régulièrement, je conseille bien sûr de graisser tous les pots à graisse.

Sur les machines à "pot d'huile", cependant, il peut y avoir des doutes. Le pot à graisse, je pense, se reconnait à son fond plat et large doublé d'un joint papier. Les pots à huile ont une vis de purge et une vis de niveau qui sert à remplir d'huile (Alfa 100) .

Ma seule machine à barboter dans l'huile est la Strobel 110 (comme le système à "carter sec" des motos anglaises) mais là, même si elle est "ancienne", on peut largement la compter dans les industrielles, arrivée par erreur chez un collectionneur de bizarreries.


Le cas de la Bernina 117 a déjà été repris plusieurs fois. De la graisse bien sûr dans le pot à graisse mais il est vrai que le trou de huilage du palier de crochet huile régulièrement par capillarité  les engrenages du crochet. Si l'huile est compatible avec la graisse cela va juste la liquéfier un peu, ce n'est pas grave. Là, sur son étagère je l'ai posée sans graisse... mais je ne manquerai pas de prévenir de ce fait un potentiel nouveau utilisateur.



De tout çà j'ai un avis à 80% que je suis prêt à réviser, bien sûr, sur présentation de toute autre argumentation renseignée.

*

Bonjour,

Je n'ai aucune prétention en la matière,
mais
je suis possesseur d'une 29K3 très fortement usagée. Cette machine a de toute évidence beaucoup d'heures de vol, et j'ai dû refaire l'ergot du levier d'avance du pied, usé à mort, plat, ainsi que le galet de la coulisse verticale dans la tête, qui avait un méplat monstrueux.
Sur cette machine pourtant les deux engrenages en partie basse sont beaux comme au premier jour, et j'attribue cela au fait que son précédent propriétaire avait bourré de graisse le compartiment des crémaillères. Même si le manuel dit que ce n'est pas cela qu'il faut faire, lors de la révision, j'ai nettoyé et scrupuleusement bourré de graisse noire à nouveau.
D'ailleurs pour cette machine (et celle-ci uniquement d'ailleurs) je lubrifie la partie supérieure avec une huile plus épaisse que l'huile de vaseline standard, tant j'ai l'impression que cette dernière est trop fine et s'échappe vite des surfaces qu'elle est censée lubrifier. Il est vrai que certains jeux fonctionnels sont plus importants que sur des machines plus raffinées.

antoine

Sewing38300 a écrit:ma réponse est claire : j'ai posté ça :
"Bien lire la notice pour savoir où on met l'huile et où on met la graisse"
de mon côté, le sujet est clos.

Excellent.....  Comme d'habitude et juste un peu avant, encore un problème de lecture je suppose  

Sewing38300 a écrit:c'est un carter d'huile : pas de graisse !
Ca ne répond pas à ma question : où mettre la graisse dans une ancienne machine ?

Comme à chaque reprise de volée sur tes écritures, une pirouette de ta part et tu te barres

Cela fait bien sourire le bleu et d'autres aussi certainement

Après 24 h d'attente ...... Aaaah Simanco, je peux m'apercevoir que tu as eu le mème parcours scolaire que moi HEC (Haute Etude Communale)

Pascal le dob a écrit:
Ok pour une boite d'huile, comme on ne doit pas enlever le carter, comment fait on le remplissage et le niveau certainement par le mème orifice faisant cette fonction, une vis de vidange peut être ???
A vous lire

Tu rassures le "gamin" ne jouant sur ce genre de bécanes

Simanco33 a écrit: Le pot à graisse, je pense, se reconnait à son fond plat et large doublé d'un joint papier. Les pots à huile ont une vis de purge et une vis de niveau qui sert à remplir d'huile

Ma seule machine à barboter dans l'huile est la Strobel 110

Voilà Domique D, tu feras comme bon te semble à présent, mais ce n'est que de la logique mécanique

Merci à tous..je vous ai lus attentivement. Et j'ai trouvé mes réponses pour ma petite Bernina avec laquelle j'ai fort bataillé

Pascal le dob a écrit:Cela m' étonne pas de ta part de cette réflexion , tu es bon par moment pour mettre le "brin" en jouant sur les mots, et à ce moment précis tu n'as plus 3/10 sur un oeil et l'autre ???.... ne souviens plus, mais tu es très fort pour endormir le forum et le bleu que je suis, par contre gentil n'a qu'un oeil et j'ai horreur des borgnes

l'avantage est que je n'ai besoin que d'un verre correctif. Pour l'oeil droit, c'est mort.

Je n'ai rien contre toi Sewing, je sais je te pourri la vie (comme disent les jeunes) mais pour le politiquement correct sur le fofo, personne n'ose te contredire, ou ni connaissent rien aussi.... Pas de chance, je suis là, j'ai appris beaucoup en peu de temps sur le fofo en lisant et croisant les infos, sans parler des machines ayant passées entre mes mains.

Entre nous, mème étant plus jeune, évite de dire ou de certifier des choses dont tu n'as pas vérifiées ou dont tu n'es pas sûr....

Prends tout cela du bon oeil, de mon coté, l'ardoise est effacée Sewing

Thierry_H a écrit:Çà fait un moment que ce titre "le graissage d'une machine à coudre ancienne" me gêne.
J'ai changé pour "lubrification".

Ce changement ne me perturbait pas, car je me suis dit qu'il fallait adapter le vocabulaire en fonction des "connaissances"  du monde actuel

Je suis tombé là dessus ce matin ... Une tite revue Singer du siècle dernier,  distribuée dans les écoles ou autres....( c'est ballot)

Vous arriverez certainement à la dater au vue des photos









Sauf erreur de ma part, à l'heure actuelle que ce soit dans le monde automobile ou autres, il est toujours inscrit sur les fiches: Tableau de graissage

Lorsque que vous faites un bon repas le dimanche et que vous vous dites: - et "mer. e" j'ai une tache de graisse sur la chemise.

Cette tache fut faite par un élément liquide, et personne ne dit: - je me suis fait une tache d'huile sur le pantalon

Ha ha !
Eh oui, "je graisse ma machine avec de l'huile".

Vu la machine présentée, je dirais milieu des années cinquante.

en 1960,j'avais 12 ans, je faisais l'entretien de la Singer 191b de ma mère. Un coup de pinceau et une goutte d'huile dans chaque trou prévu à cet effet.
Le vendeur de chez Singer était passé une fois à la maison pour quelques explications.
J'avais le droit de m'en servir pour coudre quelques vêtements de poupée pour ma soeur.
La machine fonctionne toujours, comme celle à manivelle de ma grand mère.